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The story of BOS
Chant et guitare
Né à Metz et passionné de musique depuis Né à Metz en 1982 et ayant grandi dans la banlieue de Grenoble, Gaël a trouvé très tôt dans la musique une échappatoire et une alliée. Walkman vissé aux oreilles, dès son plus jeune âge il s’imprègne de tous les styles, fan de Michael Jackson, il passe de la Pop au Rock, du Hard Rock à la Funk.
À 14 ans, une guitare héritée de son père devient bien plus qu’un instrument : un véritable refuge face à une adolescence marquée par la violence et la solitude. Il la considère comme sa « meilleure amie », et c’est avec elle qu’il apprend à transformer ses émotions en musique.
Autodidacte passionné, il découvre l’informatique musicale et apprend la guitare via les magazines spécialisés. Très vite, il enregistre, compose, écrit, et expérimente. Des années 90, il gardera l’influence de Nirvana, RATM, Smashing Pumpkins, Offspring, Red Hot Chili Peppers ou Metallica. Mais son parcours le mène aussi vers le hip-hop, il devient beatmaker avant même que ce mot ne soit courant. Son premier album naît… dans la radio de son lycée.
Puis viennent les premières collaborations, les joies et surtout les désillusions. Après un EP, un second album et la rencontre avec un éditeur avec qui il ne partage pas du tout la même vision, il décide de quitter la formation. Cette rupture douloureuse marque un tournant.
Gaël reprend la guitare et le chant en s’inscrivant en école de musique. C’est à ce moment-là qu’il découvre Ableton Live, l’outil qui lui permettra de donner corps à sa vision artistique et de produire sa musique.
Toujours en quête de progrès, il apprend la basse, la batterie, perfectionne son chant, ses compositions et sa production.
Mais un constat s’impose : créer seul ne lui suffit plus. Ce qu’il veut désormais, c’est partager sa musique, vivre l’énergie collective d’un groupe… sans refaire les erreurs du passé.
Après plusieurs tentatives, il franchit un cap : une annonce postée sur internet. Quelques rencontres plus tard, BOS naît, projet dans lequel il peut enfin canaliser tout ce qu’il a appris, vécu et rêvé.
Pour Gaël, la musique n’est pas qu’une passion : c’est une histoire de survie, de résilience et de création, un chemin qu’il continue d’écrire avec BOS et avec tous ceux qui vibreront avec eux.
Chant
La première fois que Mel est montée sur scène, elle avait deux ans. Elle tenait son texte à l’envers, mais déjà, quelque chose vibrait. Cette petite étincelle ne l’a jamais quittée.
Enfant, elle grandit dans un univers où l’art était une évidence. Sa mère organisait des fêtes de la musique et des pièces de théâtre pour animer le village, et toute la fratrie plongea dans le bain culturel comme on se jette dans une rivière trop attirante pour être ignorée.
Chez les quatre enfants, la créativité devint une seconde langue.
Mel choisit les mots d’abord, en écrivant quelques livres. Mais très vite, c’est sa voix qui prit toute la place. Le chant devint son refuge, son souffle, son identité. Chanter, pour elle, ce n’est pas un loisir : c’est exister. C’est dire l’indicible, se libérer, s’affirmer.
Sur scène, portée par une envie irrépressible de transmettre, d’émouvoir et de partager, sa voix s’exprime tel un cri du cœur. C’est une manière de se connecter aux autres et de leur tendre un miroir sincère de ses émotions.
Dans sa vie perso, Mel est soutenue par son grand Amour qui l’accompagne depuis toujours et par ses enfants, petites tornades d’énergie et de joie. Leur présence nourrit encore plus sa soif de création, lui rappelant que la musique n’est jamais qu’une histoire de lien et de transmission.
Aujourd’hui, au sein de BOS, Mel a trouvé un terrain de jeu et d’expression où sa voix peut s’épanouir pleinement. Elle apporte cette intensité brute, mêlant force et fragilité, qui transforme chaque chanson en une histoire vécue. Avec elle, le chant n’est pas qu’un art : c’est une nécessité vitale.
Basse
Tout petit, Manu découvre la musique sur la platine vinyle de son père, entre Rock n’Roll et Jazz. Seul dans sa chambre, il s'initie à l’Air Balai en battant la mesure au son des premiers albums d'Iron Maiden et de Metallica, en s'imaginant devant une foule en délire.
Un jour, il suggère à ses parents qu’il aimerait apprendre la guitare. Sa mère flairant le danger sonore, l'inscrit plutôt à des cours de piano. En découle dix ans d’école de musique en partenariat forcé avec Beethoven, Mozart, et Chopin sous la houlette d’un professeur centenaire adepte d’une méthode qu’on pourrait qualifier de… “tyrapédagogique”. Il découvre la scène lors de quelques mini récitals à quatre, voire six mains, devant un public de parents admiratifs, prêt à verser une larme au son de la première note.
Pendant cette période, ses orientations musicales sont plutôt les groupes de Heavy Métal des années 80-90 pour lesquels il devient fan et assiste à ses premiers concerts.
Il abandonne la musique pendant quelques années, se rachète un clavier et s'essaie à quelques compos qui ne séduisent que lui.
Un jour, une illumination céleste l'envoi prendre des cours de basse. Malgré son âge avancé et grâce à une professeure géniale, il découvre un instrument qui le passionne avec pour objectif : jouer enfin dans un groupe de rock.
Après quelques expériences plus ou moins convaincantes, son rêve d’enfant se réalise avec BOS. Manu y retrouve ses racines musicales et toute l’énergie brute de sa jeunesse.
Aujourd’hui, la basse est devenue son langage et BOS, son terrain de jeu. L’histoire a commencé… et espérons qu’elle groove longtemps encore.
Batterie
Antoine pratique (ou du moins fait assez bien semblant) la batterie depuis ses 10 ans. S'amusant à empiler devant lui casseroles, sots ou autres pots en verre et tapant dessus avec des baguettes chinoises lorsqu'il était enfant, sa mère s'est vite convaincue qu'une pratique plus assidue et encadrée d'un instrument de percussion serait salvatrice pour ses propres tympans, ainsi que le mobilier de la maison.
Après 3 ans d'école de musique, Antoine se persuade, seul, que le solfège "ça sert à rien pour un batteur" et décide donc de se former à l'instrument en autodidacte.
Raté, par flemme, il ne touchera plus à une batterie pendant 3 ans.
Comme tous les ados rebelles, il monte un groupe de métal dans son garage à 16 ans, flanqué d'un guitariste que nous qualifierons d'amateur, et d'un chanteur plein d'entrain mais au talent limité. Malgré la reprise époustouflante (selon eux) de Sweet Dream de Marylin Manson et des compositions approximatives, le groupe ne connait pas le succès international, et se contente de jouer à une seule occasion à l'anniversaire d'une copine, avant de se séparer, au grand soulagement des voisins.
S'ensuit une période de plusieurs années et l'achat d'une batterie électronique, où Antoine travaille de façon plus rigoureuse, et en profite pour affiner ses goûts musicaux: jazz rock, rock progressif, rap, folk, et même un peu d'électro. À défaut d'être un bon batteur, il a au moins des goûts éclectiques. C'est aussi à cette époque qu'il fait la rencontre de son groupe fétiche, Led Zeppelin. Et oui, ce n'est pas très original.
En 2010, il intègre un petit groupe local, SAFES, à base de compositions plutôt rock, qui se produit une petite dizaine de fois avant de se séparer. En 2015, il intègre les Uncles Fridges, autre groupe local de compositions et reprises de classique rock (Deep Purple, Neil Young, Led Zeppelin...). Après presque 3 ans, une dizaine de concerts et beaucoup trop de litres de bières en répétition, le groupe se sépare avant d'attraper une cirrhose. Vient ensuite la période ADDICT, groupe de Moselle Est de reprises rock.
Là, Antoine va travailler plus sérieusement, au métronome, certains morceaux ayant des samples, et le groupe arrive rapidement à étoffer son répertoire avec plus d'une vingtaine de chansons. Les premiers concerts se profilent, mais nous sommes en 2020, et le COVID met un violent coup d'arrêt à la vie culturelle. Le groupe prend son mal en patience, et jouera finalement plus d'une dizaine de dates entre deux confinements, avant de spliter.
C'est finalement en 2025 que l'aventure BOS commence.
La rencontre se fait via une annonce sur EasyZic. Une audition bien négociée, l'enregistrement ultra rapide d'un premier album, et surtout, une belle rencontre avec d'autres musiciens, lui donne goût à ce nouveau challenge!
Prêt à embarquer dans une nouvelle aventure
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